7.06.1927. Le coup de lycéen-expat Boris Koverda dans le meurtrier de la Famille Royale Voykova - l'ambassadeur soviétique à Varsovie
Voykov(Vayner Pinhus) est arrivé en Russie dans le nombre de compagnons de Lénine dans le fameux « train plombé », a été envoyé aux montagnes de l'Oural, et est devenu l'un des participants directs à l'assassinat de la famille royale 4/17 Juillet 1918, assister en même temps que le représentant du Soviet régional des députés, puis chimiste dirigé l'acide de livraison du corps de destruction. En 1924, il est devenu l'ambassadeur soviétique Voikov Varsovie. En vertu de la nouvelle fatidique pour lui, en 1927, sous l'influence de l'alcool consommé le soir du personnel de l'ambassade, il a dit que les futurs transfuges Besedovskiy histoire terrible du meurtre de la famille royale dans la maison Ipatiev. « Ce fut une terrible histoire », - a dit Voikov, tenant un anneau avec une couleur irisée rubis de sang, qu'il tira de l'une des victimes après l'assassiner. - « Nous sommes tous les participants ont été carrément déprimé ce cauchemar. Même Jurowski - et qu'à la fin il ne pouvait pas résister, et a dit que quelques-unes de ces jours, et il serait devenu fou ».
Punir ce bourreau de la Royal la famille 7 Juin, 1927, à la gare de Varsovie, un jeune homme Boris Koverda (1907-1987), il est devenu un héros de l'émigration russe.
Le procès de Borisom Koverda a été réalisée très rapidement 7 Juin une tentative a été faite, et que le 15 a été reconnu coupable. Les deux gouvernements concernés, le polonais et soviétique, avaient pour cette raison. La Pologne ne voulait pas compliquer les relations avec son voisin dangereux, avec qui elle a pris fin récemment la guerre. Pour l'Union soviétique longue enquête et l'analyse des raisons de l'assassinat menacé de transformer la condamnation de première instance Koverda du régime soviétique dans les yeux du mіrovoy public. Les bolcheviks craignaient un procès de répétition d'un autre immigrant russe, un citoyen suisse un officier blanc Morisom Konradi, tourné en 1923, le chef des voleurs de la délégation soviétique. tribunal suisse a acquitté Conradi et donc dans le processus exposé et a condamné les atrocités bolchevique en Russie.
Pour accélérer le processus, le gouvernement polonais a découvert qu'il est possible d'utiliser les tribunaux d'urgence se rapportant à des crimes contre les fonctionnaires polonais (Voykova diplomate bénéficiant d'une protection de l'Etat, classé en tant que tel). Dans le cadre du président et de deux membres, le tribunal rend une peine précoces et sévères, qui sont définitives et sans appel.
Dès le matin, Juin 15, le bâtiment de la cour était entourée d'une foule de gens qui voulaient être présents dans la salle d'audience. Malgré la sélection stricte, qui a fait l'admission à la salle, tous les bancs pour les allées et les lieux publics étaient occupés par les juges. Polonais et la presse étrangère ont été un grand nombre de journalistes, dont le nombre a atteint 120 personnes. Parmi eux se trouvaient les correspondants de la « Pravda » et « Izvestia » qui a eu lieu en marge des journalistes « bourgeois ».
Boris Koverda a été intronisé dans la salle d'audience sous bonne garde, et une fois gagné la sympathie générale avec son sourire et la bonne expression. Dans une chemise propre et un costume modeste, il semblait un bon garçon. Koverda son témoignage donné, comme tous les témoins en polonais. Au début, il était très nerveux, mais à tout autre moment se comportait très calmement, malgré le fait que, avant l'annonce du verdict dans l'atmosphère tendue de l'audience, il y avait même des craintes quant à la possibilité d'être condamné à mort ...
L'acte d'accusation de la légende Boris Koverda tribunal d'urgence un accusé en vertu de l'article 453 du Code criminel, nous sommes intéressés en partie, se lit comme suit:
« Pousse à l'envoyé Voykova était Boris Koverda, dix-neuf ans, un étudiant du gymnase de la société russe à Vilna, qui a interrogé en tant que défendeur, a plaidé coupable à l'envoyé volontaire d'homicide involontaire coupable Voykova et a dit qu'il, comme un adversaire du système politique et social en Russie et avec l'intention d'aller en Russie, là pour prendre une part active dans la lutte contre ces systèmes, je suis venu à Varsovie afin d'obtenir l'autorisation du représentant de l'URSS pour le transport gratuit à la Russie. Et quand il a refusé, il a décidé de tuer le messager Voykova, en tant que représentant des autorités de l'URSS, et a ajouté que le messager Voykova n'a jamais parlé à ses prétentions nullipare ou ne pas appartenir à une organisation politique, et que l'acte d'assassiner il a commis lui-même, sans la suggestion de quelqu'un ou de complicité ».
Après l'annonce de l'acte d'accusation du Président de la Cour a demandé Koverda s'il plaide coupable, il a répondu qu'il reconnaît assassiner Voykova, mais a plaidé non coupable, alors il l'a tué pour tout ce qui a fait en Russie bolcheviks.
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Message: http://royaume-de-france.clicforum.com/t3464-7-06-1927-la-vengeance-du-Tzar.htm
Voykov(Vayner Pinhus) est arrivé en Russie dans le nombre de compagnons de Lénine dans le fameux « train plombé », a été envoyé aux montagnes de l'Oural, et est devenu l'un des participants directs à l'assassinat de la famille royale 4/17 Juillet 1918, assister en même temps que le représentant du Soviet régional des députés, puis chimiste dirigé l'acide de livraison du corps de destruction. En 1924, il est devenu l'ambassadeur soviétique Voikov Varsovie. En vertu de la nouvelle fatidique pour lui, en 1927, sous l'influence de l'alcool consommé le soir du personnel de l'ambassade, il a dit que les futurs transfuges Besedovskiy histoire terrible du meurtre de la famille royale dans la maison Ipatiev. « Ce fut une terrible histoire », - a dit Voikov, tenant un anneau avec une couleur irisée rubis de sang, qu'il tira de l'une des victimes après l'assassiner. - « Nous sommes tous les participants ont été carrément déprimé ce cauchemar. Même Jurowski - et qu'à la fin il ne pouvait pas résister, et a dit que quelques-unes de ces jours, et il serait devenu fou ».
Punir ce bourreau de la Royal la famille 7 Juin, 1927, à la gare de Varsovie, un jeune homme Boris Koverda (1907-1987), il est devenu un héros de l'émigration russe.
Le procès de Borisom Koverda a été réalisée très rapidement 7 Juin une tentative a été faite, et que le 15 a été reconnu coupable. Les deux gouvernements concernés, le polonais et soviétique, avaient pour cette raison. La Pologne ne voulait pas compliquer les relations avec son voisin dangereux, avec qui elle a pris fin récemment la guerre. Pour l'Union soviétique longue enquête et l'analyse des raisons de l'assassinat menacé de transformer la condamnation de première instance Koverda du régime soviétique dans les yeux du mіrovoy public. Les bolcheviks craignaient un procès de répétition d'un autre immigrant russe, un citoyen suisse un officier blanc Morisom Konradi, tourné en 1923, le chef des voleurs de la délégation soviétique. tribunal suisse a acquitté Conradi et donc dans le processus exposé et a condamné les atrocités bolchevique en Russie.
Pour accélérer le processus, le gouvernement polonais a découvert qu'il est possible d'utiliser les tribunaux d'urgence se rapportant à des crimes contre les fonctionnaires polonais (Voykova diplomate bénéficiant d'une protection de l'Etat, classé en tant que tel). Dans le cadre du président et de deux membres, le tribunal rend une peine précoces et sévères, qui sont définitives et sans appel.
Dès le matin, Juin 15, le bâtiment de la cour était entourée d'une foule de gens qui voulaient être présents dans la salle d'audience. Malgré la sélection stricte, qui a fait l'admission à la salle, tous les bancs pour les allées et les lieux publics étaient occupés par les juges. Polonais et la presse étrangère ont été un grand nombre de journalistes, dont le nombre a atteint 120 personnes. Parmi eux se trouvaient les correspondants de la « Pravda » et « Izvestia » qui a eu lieu en marge des journalistes « bourgeois ».
Boris Koverda a été intronisé dans la salle d'audience sous bonne garde, et une fois gagné la sympathie générale avec son sourire et la bonne expression. Dans une chemise propre et un costume modeste, il semblait un bon garçon. Koverda son témoignage donné, comme tous les témoins en polonais. Au début, il était très nerveux, mais à tout autre moment se comportait très calmement, malgré le fait que, avant l'annonce du verdict dans l'atmosphère tendue de l'audience, il y avait même des craintes quant à la possibilité d'être condamné à mort ...
L'acte d'accusation de la légende Boris Koverda tribunal d'urgence un accusé en vertu de l'article 453 du Code criminel, nous sommes intéressés en partie, se lit comme suit:
« Pousse à l'envoyé Voykova était Boris Koverda, dix-neuf ans, un étudiant du gymnase de la société russe à Vilna, qui a interrogé en tant que défendeur, a plaidé coupable à l'envoyé volontaire d'homicide involontaire coupable Voykova et a dit qu'il, comme un adversaire du système politique et social en Russie et avec l'intention d'aller en Russie, là pour prendre une part active dans la lutte contre ces systèmes, je suis venu à Varsovie afin d'obtenir l'autorisation du représentant de l'URSS pour le transport gratuit à la Russie. Et quand il a refusé, il a décidé de tuer le messager Voykova, en tant que représentant des autorités de l'URSS, et a ajouté que le messager Voykova n'a jamais parlé à ses prétentions nullipare ou ne pas appartenir à une organisation politique, et que l'acte d'assassiner il a commis lui-même, sans la suggestion de quelqu'un ou de complicité ».
Après l'annonce de l'acte d'accusation du Président de la Cour a demandé Koverda s'il plaide coupable, il a répondu qu'il reconnaît assassiner Voykova, mais a plaidé non coupable, alors il l'a tué pour tout ce qui a fait en Russie bolcheviks.
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